Le quart d’heure de retard arlésien s’est exporté à Paris, hier. C’est donc vers 12h15, et non midi, que la conférence de presse présentant les Rencontres d’Arles, organisées du 1er juillet au 22 septembre, a commencé, sous les ors du ministère de la Culture.
C’est la maîtresse de maison, la ministre Aurélie Filippetti en personne, qui a annoncé la 44e édition de la manifestation. « C’est un des moments forts de notre vie culturelle, en France, un de nos festivals d’envergure internationale », a-t-elle lancé. Avant d’ouvrir une fenêtre sur un futur de plus en plus proche. « Arles, avec la concrétisation des projets de la fondation Luma, devient bien plus qu’un rendez-vous de la photo, et va s’inscrire comme une ville de création internationale et de recherche sur l’image », a estimé la ministre, qui a aussi souligné que « le succès renouvelé des Rencontres » était « la preuve que la photographie, art éminemment populaire, avait un grand avenir. »
Un avenir qui passe donc par Arles, dès le mois de juillet. Un « Arles in black », selon le slogan choisi cette année, pour la simple et bonne raison que la thématique retenue cette année est le noir et blanc.
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