Les microstocks sont présentés comme les ennemis mortels des photographes professionnels. Autant je suis en plein accord avec la défense des droits des photographes face au vol de photos, à l’infâme mention DR, au problème des œuvres orphelines ou aux concours pièges à gogos, autant rien de ce que j’ai pu lire sur les microstocks depuis des années n’a réussi à me convaincre que leur existence menaçait la profession dans son ensemble.
Je me suis replongé ces jours-ci dans les divers écrits de l’UPP (Union des Photographes Professionnels) et de plusieurs photographes et auteurs pertinents, comme Cédric Girard. Si j’ai bien compris les problèmes que posent les microstocks, notamment de type juridique avec la notion de « libre de droits », l’ampleur du danger qu’ils représentent pour la profession continue de m’échapper.
J’ai donc décidé de participer au débat en proposant mon analyse. Comme j’imagine qu’elle doit être au moins partiellement erronée vu l’apparente unanimité contre les microstocks, j’espère que de la discussion jaillira la lumière.
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