Lauréate de la première édition des Vienna International Photo Awards (VIPA), la photographe italienne Antonella Monzoni signe avec “L’Arménie blessée” un reportage poignant sur un pays et une population à l’histoire complexe et l’avenir incertain. Celle-ci vit depuis bientôt un siècle avec une blessure ouverte, jamais refermée. Et pourtant, c’est un peuple simple, ouvert et accueillant que la photographe a rencontré. Elle nous en parle avec ses mots et ses images.
Sur vos images de l’Arménie blessée, le traitement appliqué favorise une ambiance pesante. Comme si « avenir » rimait avec « incertitude ». Est-ce ce que vous avez souhaité traduire ?
C’est vrai, c’est ma vision de l’Arménie. En 2006, j’ai visité pour la première fois la région du Caucase et c’est l’Arménie qui « m’a demandé » de revenir. ..
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