Le groupe japonais des technologies de l’image a annoncé ce matin un bénéfice net plus que doublé pour les neuf premiers mois de l’exercice 2011-2012, même si la hausse du yen, le séisme au Japon et les inondations en Thaïlande lui ont causé un lourd manque à gagner.
Bien que le produit de ses ventes à l’étranger génère moins de revenus que prévu une fois converti en yens et que sa production ait souffert des désastres, Nikon a affiché un bénéfice net de 46,75 milliards de yens (468 millions d’euros) contre 20,3 milliards durant les mêmes neuf mois de 2010.
Son profit d’exploitation a dans le même temps été multiplié par deux, à 69,36 milliards de yens (694 millions d’euros) grâce à des ventes qui ont progressé de 7,7% sur un an à 701,7 milliards de yens (7 milliards d’euros) du fait de très solides achats d’appareils photo.
Ces belles performances découlent d’une augmentation des ventes d’appareils photo et d’une amélioration significative de la rentabilité des équipements optiques de contrôle pour l’industrie des semi-conducteurs. Au cours des neuf mois passés en revue, Nikon a écoulé 3,67 millions d’appreils reflex (520.000 de plus qu’un an plus tôt dans le même laps de temps), un nombre record de modèles compacts (13,87 millions, +2,27 millions) et 5,56 millions d’objectifs interchangeables (760.000 de plus).
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