Cette seconde édition de la manifestation au Grand Palais marque le retour en force d’une grande tradition photographique.
Nue comme la vérité, comme la beauté, comme l’amour fou de l’amateur pour ce drôle de petit support né au XIXe siècle, la photographie. Au fil des 128 galeries qui se partagent l’espace du Grand Palais jusqu’à dimanche soir, ce Paris Photo 2012 dénote un goût certain des belles choses.
Le corps en est le premier dans le répertoire des formes. Le corps des femmes aimées et des danseuses splendides, des inconnues abordées dans la rue et des épouses sages, des amants guettés au saut du lit (Ray Charles par Arlette Kotchounian, chez Bertrand Grimont) et des autoportraits de photographes exaltés par la nature (The Stone Thrower, 1923, de Rudolf Koppitz, 18.000 € chez Johannes Faber).
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