Laissez-moi vous conter l’histoire étrangement banale à laquelle un jeune photographe professionnel a été récemment confronté. Le garçon s’en va photographier un groupe en live pendant un festival. Il est professionnel, il est accrédité, il n’a pas signé de contrat comme c’est parfois le cas sur certaines grosses productions.
De ce genre de contrat léonin qui stipule que le photographe s’engage, d’une, à faire d’excellents clichés ne dépréciant pas l’artiste, de deux, à ne les commercialiser sur aucun type de supports (mugs, briquets, t-shirts…) et encore moins sur des médias de diffusion (presse, TV, vidéo, web…).
Non. Ici, point de contrat. Notre jeune ami peut donc exercer son job pleinement, pendant les sacro-saints « trois premiers titres sans flash » et depuis la foule puisque, logiquement accrédité par le festival, il peut pratiquer son art sauf avis contraire et d’avis contraire il n’y en a point. Jusqu’ici, donc, tout va bien…
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