Le jury a rendu son verdict, récompensant les travaux de correspondants de guerre dans les différents médias. La majorité ont opéré en Syrie.
« Par la force des reportages et des témoignages, que restera-t-il gravé dans nos mémoires dans 20 ans ? » C’est la question posée au membre du jury de la dix-neuvième édition du Prix Bayeux des correspondants de guerre. Elle émane de son président, Gilles Peress, photographe français de l’agence Magnum. En toute logique, la guerre civile qui sévit toujours en Syrie, a été au centre des attentions, ainsi que la Libye et l’Égypte, où les lendemains de révolution sont particulièrement difficiles.
Dans la catégorie photo, Aris Messinis, de l’Agence France Presse, remporte le trophée pour son reportage « La bataille de Syrte », effectué en Libye.
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