La photojournaliste allemande Ina Fassbender avait 16 ans quand elle s’est saisie pour la première fois d’un appareil photo dans l’espoir de rapporter les secousses du monde. Dans son objectif, une manifestation antinucléaire à Hanau (Allemagne de l’ouest). Depuis, ses passions pour l’environnement et la photographie ont grandi ensemble, et cohabitent avec son goût pour la couverture d’événements sportifs.
Femmes photographes: Angela Weiss
Je prenais en photo des danseurs et je me souviens de mes doutes: ai-je saisi le bon moment ou pas ? Et dans la paix du labo j’avais ma réponse, bien plus tard. Aujourd’hui, c’est tout l’inverse. Tout est instantané, La photo est téléchargée et vite, vite, elle parvient au client.
Le journalisme se remettra-t-il de la pandémie ?
Les restrictions sanitaires, bien compréhensibles, ont bouleversé l’exercice de notre métier. Sont-elles parfois excessives, utilisées comme prétexte pour écarter les médias? Le doute s’est immiscé. A l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, lundi, une inquiétude se fait jour: retrouverons-nous le plein accès aux événements que nous couvrions avant la pandémie? La liberté et la pluralité de l’information seront-elles aussi victimes du Covid-19?
Femmes photographes : Cristina Quicler
Cristina Quicler raconte l’Andalousie pour l’AFP depuis 2002. Elle a reçu en 2020 le prix Andalousie de journalisme pour l’une des photographies présentées dans cet article. Cet entretien s’inscrit dans une série de rendez-vous avec des femmes photojournalistes à l’AFP.
Femmes photographes: Patricia de Melo Moreira
En hommage à toutes les femmes photographe, à toutes celles qui ont suivi et à toutes celles qui arpentent constamment tous les terrains du monde appareil à la main, l’AFP lance une série d’entretiens avec ses femmes photographes. Nous commençons par Patricia de Melo Moreira, basée à Lisbonne, sélectionnée en 2020 dans la liste prestigieuse des meilleurs photographes d’agence de l’année du quotidien The Guardian.
Une petite fille syrienne souriant à la demande d’un photographe ? L’histoire d’un cliché devenu viral
Une photographie partagée plus de 100.000 fois sur les réseaux sociaux depuis août 2018 prétend montrer une petite fille syrienne ayant survécu à la guerre, à laquelle le photographe demande de sourire. Il s’agit en réalité d’une photo de 2017 d’une petite fille irakienne. Et son sourire n’est pas forcé,
L’enfer à Notre-Dame : les photographes de l’AFP racontent ce qui les a frappés
Notre-Dame de Paris. Ils l’ont tous connu comme simple habitant de Paris mais aussi et surtout comme journalistes. Un reporter, une JRI et cinq photographes de l’agence racontent ce qui les a frappé en couvrant l’incendie qui l’a ravagée en l’espace de quelques heures.
La torche humaine
J’ai pris cette photo pendant les manifestations de la fête du travail, le 1er mai, à Paris. J’y habite depuis un peu plus d’un an maintenant. J’ai dû quitter ma ville natale d’Alep, en Syrie, après y avoir perdu un œil, en couvrant des combats.
Mossoul-Ouest : première mission en zone de conflit
Travailler à Mossoul-Ouest est une expérience unique pour un reporter, surtout pour sa première mission en zone de conflit. C’est d’abord une expérience à acquérir rapidement pour apprendre les bruits de la guerre, et la meilleure façon de s’y glisser en restant vivant.
La bataille pour capturer l’Histoire
L’organisation de la couverture de l’investiture présidentielle américaine est toujours un défi, surtout avec une nouvelle administration. Mais celle-ci s’est avérée particulièrement difficile.
« Ce n’est pas ma meilleure photo, mais… »
Lorsque je demande aux photographes de l’AFP de me raconter une image qu’ils ont prise et qui les a marqués, ils répondent souvent de la même façon : « ce n’est pas ma meilleure photo, mais elle est importante pour moi… ».
Couvrir Alep, la peur au ventre et le ventre vide
Notre correspondant Karam Al-Masri, photographe et vidéaste dans la partie rebelle de la deuxième ville de Syrie nous raconte au jour le jour, avec un courage qui ne vacille pas, l’histoire de cette métropole dévorée par une guerre sans merci.
Présidentielle gabonaise : l’importance d’y être et de témoigner
Quand j’arrive au Gabon pour couvrir l’élection présidentielle, fin août, je réalise que je suis le seul photographe d’un grand média international à avoir fait le déplacement. Dans les pays du nord, les gens dans les rédactions ont dû se demander : encore une élection et encore des troubles dans un pays africain ? À quoi bon couvrir ?
Les autres : histoire d’une photo
Des gens m’ont demandé si j’ai été surpris par les réactions aux photos du petit Syrien dans l’ambulance, Omran. Pour vous dire la vérité, je n’ai pas été surpris du tout. C’est un enfant, un très jeune enfant. Il faudrait ne pas avoir de cœur pour ne pas être ému et choqué par ces images.
Capturer des étoiles filantes
D’ici quelques jours, huit hommes prendront place dans les starting-blocks de la finale olympique du cent mètres. Ce sera également le cas pour moi et pour tous les autres photographes dont le travail consiste à immortaliser en pleine action les athlètes les plus rapides du monde.