Le bain d’arrêt est utilisé lors du développement argentique de film ou de papier. Sa fonction est double, son acidité permet en premier lieu d’arrêter net le développement par abaissement soudain du pH de la gélatine saturée de révélateur. En second lieu de préserver la longévité du fixateur.
Agrandisseur photo : à diffusion ou à condenseur ?
Le négatif est éclairé par une source de lumière rendue homogène sur toute la surface de projection afin d’éviter tous les artefacts d’illumination de type point chaud, bords sombres etc. qui se retrouveront sur le tirage final. Il existe deux grandes catégories d’agrandisseurs classées selon leur méthode d’homogénéisation de la source de lumière.
Papiers photo argentiques : comparatif
Aujourd’hui, je propose une comparaison entre différents papiers photo argentiques, avec tirage sous agrandisseur en chambre noire donc sur gélatine argentée.
Archivage et conservation des négatifs photographiques
La question que l’on se pose souvent c’est quel type de feuillet ou pochette choisir ? Pergamine, cristal, polyester, polyéthylène, mylar, melinex, etc. Ensuite, où stocker tout cela ? Dans une boîte, à la cave ou au grenier ? Il faut bien faire un choix, alors comment choisir ?
Papier photo noir et blanc argentique : les bases
Un papier photographique est un papier recouvert d’une surface photosensible. Une fois exposé à la lumière le papier doit être chimiquement développé et insensibilisé à la lumière pour faire apparaître l’image et la rendre permanente.
Négatif papier : premiers pas
Comment exposer un négatif papier ? Utilisons le papier Ilford Multigrade IV RC et un appareil argentique 35 mm pour la calibration de l’exposition, puis observons le tirage contact du négatif.
Planche contact : une approche contemporaine
À l’époque où l’argentique régnait sur la planète photo, la planche contact était le moyen le plus pratique d’éditer ses travaux et classer ses négatifs pour y revenir ultérieurement. C’est toujours le cas de nos jours, mais quand les travaux s’accumulent, la dépense générée s’apparente à une petite fortune investie uniquement dans la gestion de ses archives photo.
Le sténopé : comment cela marche ?
La camera obscura est une découverte marquante dans l’histoire de la photographie car c’est le premier dispositif inventé qui permet de faire apparaître une image en deux dimensions. Le sténopé en reprend le principe et lui ajoute un dispositif de capture de l’image : une surface photosensible.
Compensation ou correction d’exposition : les points de repère
La façon la plus aisée d’interpréter chaque scène par rapport au gris de référence de la mesure est d’avoir quelques points de repères : les mesures types, que nous allons voir.
Les 7 paramètres techniques sur lesquels repose la créativité en photo (argentique)
En photographie, on a 7 notes pour faire de la musique. Ça fait peu, même en ajoutant du vibrato. Passer en revue les paramètres techniques qui permettent d’être créatif (ou non) peut paraître trivial mais ça débloque parfois quand on a plus rien en tête.
Les modes de mesure d’exposition en photographie
Passons en revue les différents modes de mesure d’exposition que l’on trouve sur les appareils récents. Nous verrons aussi à quel mode s’apparente celui de la plupart des modèles anciens.
Photo argentique : pourquoi pousser ou retenir un film
En photo argentique on parle fréquemment de traitement poussé ou plus rarement de traitement retenu. Les mentions +1, +2, +3 ou -1 accompagnent le plus souvent ces termes. Que signifient-ils ?
Photo argentique : comment utiliser une bobineuse
Comment fabriquer ses propres pellicules ou cartouches photo à partir de film ou pellicule en bobine en utilisant une bobineuse de film argentique ? C’est ce que nous allons voir dans cette vidéo.
Chimie argentique : la dilution pour les nuls
En manipulant les chimies en photo argentique, on rencontre souvent les notations suivantes : dilution 1:4, dilution 1+4, dilution 20%… Mais que signifie ce charabia ?
Flux de production argentique : temps minimum requis
Combien de temps est-il nécessaire pour « archiver » un cliché argentique noir et blanc ? Je m’intéresse ici au temps minimum qu’il faut pour passer d’une pellicule qui sort de l’appareil à un négatif rangé sous pergamine et l’obtention d’un scan de référence qui fera office de planche contact.