Voilà un logiciel de scrapbooking qu’un coup d’œil rapide laisse perplexe, mais qui après une heure de manipulation dévoile des atouts qui ne sont pas suffisamment mis en avant.
Le scrapbooking, que nos cousins québécois nomment joliment le collimage et que tout francophile militant devrait nommer créacollage, n’est pas né avec l’informatique. Une feuille de papier coloré et rigide sur laquelle on peint un fond, puis colle des photos, un billet de train, un ticket d’entrée au musée, quelques fleurs séchées et autres objets, le tout agrémenté de textes manuscrits : voilà une première œuvre.
Comme le diaporama, l’activité, loin d’être souterraine, attire un vaste public qui en pratique la version physique, avec papier, ciseau, colle et crayons pour réaliser les compositions. En numérique, c’est le photomontage, apanage de tout logiciel d’imagerie ou de mise en page digne de ce nom.
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