Sa démarche s’enrichie d’une réflexion autour de la mise en scène : mise en scène figée, calculée, la suspension du temps dans son action. Vincent Toulotte cherche à développer les passions, à communiquer avec son public des sensations intimes, des émotions transmises par la composition et la couleur. Il pourrait citer Jean Carzou « la peinture a perdu son côté décoratif », pour lui l’art ne doit pas naître d’un concept et d’une masturbation intellectuelle mais de l’émotion, une émotion que l’on retrouve dans la création manuelle.
Pour l’artiste, une œuvre doit être à la fois esthétique, intelligente et technique. L’art est un métier et pas seulement une passion. L’artisan doit être présent et pour cela il doit maîtriser le savoir faire dans l’obtention d’un bijoux d’orfèvre. Vincent Toulotte ne s’arrête pas seulement à l’objet mais développe des sujets liés à son enfance tel que la religion qui est très présente dans son œuvre sous la forme de symboles, des thèmes et clichés puisés de ses propres expériences qui sont celles de notre société.
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